jueves, 31 de octubre de 2013

"Farse": ¿El nombre que responde al querer de Joyce?

"Farce"
¿El nombre que responde al querer de Joyce?

Félix Morales Montiel

El presente comentario busca hacer una pequeña contribución respecto de lo que el Dr. Vappereau proponía en una clase como punto a dilucidar en el escrito “Joyce, el síntoma”, respecto de las páginas 162 y 509 de Finnegan’s Wake y la tolerancia de sí mismo como mujer que Joyce logra hacer. Se propondrán algunas coordenadas para una lectura posible de este pasaje, con la finalidad de que otras personas puedan proponerme su lectura para debatir, o bien continuar con la investigación.

Tomaré lo que comenta Lacan en este escrito, y propondré dos citas que creo que son las relevantes en las dos páginas que cita Lacan, con una traducción muy básica al castellano de lo que pienso que es importante, para luego llegar a unas pequeñas elaboraciones.
 
  1. La palabra “farce” (utilizado en “tour de farce”) existe también en inglés y es muy parecida en sonido a “farts” (palabra en inglés que se puede traducir como “flatulencias”); incluso, en la pronunciación Cockney e irlandesa pudieran ser iguales, aunque de esto no estoy seguro.

  1. En la página 162: “the compositor of the farce of dustiny however makes a thunpledrum mistake by letting off this pienofarte effect as his furst act as that is where the juke comes in”.
    1. Traducción posible: “el compositor de la farsa/flatulencia del destino, sin embargo, hace un garrafal error al dejar este efecto pianoforte como su primer acto ya que es donde el chiste entra”.
    2. Otra traducción posible: “acto de hacer una flatulencia” en vez de “primer acto”.


  1. En la página 509, “He could claud boose his eyes to the birth of his garce, he could lump all his lot through the half of her play, but he jest couldn’t laugh through the whole of her farce becorpse he warn’t billed that way. So he outandouts his volimetangere and has a lightning consultation and he downadowns his pantoloogions and made a piece of first perpersonal puetry that staystale remains to be. Cleaned.” 
    1. Traducción posible: “Él podía claud boose sus ojos para el nacimiento de su gracia, él podría amontonar todo su terreno a través de la mitad de su obra, pero él solamente no podía reírse a través de la totalidad de su farsa/flatulencia porque él no estaba construido así. Así que sacaysaca su volimetangere y tiene una consultación relámpaga y él bajabaja sus pantalones e hizo una pieza/obra de su primera puesía personal que todavíatiesa permanece por ser. Limpiada.”

Aunque hay numerosos empleos de la palabra en la obra, que Lacan haya señalado estas dos páginas, implica que, para él, estos dos empleos se diferencian de los otros de una manera significativa. Esto se puede ver en la página http://www.fweet.org/cgi-bin/fw_grep.cgi?srch=farce&cake=&icase=1&accent=1&beauty=1&hilight=1&escope=1&rscope=1&dist=4&ndist=4&fontsz=100&shorth=0 (buscando “farce” en http://www.fweet.org/pages/fw_srch.php),
 
Creo que este tema de la flatulencia, que aparece en las cartas que sostiene con Nora (http://loveletters.tribe.net/thread/fce72385-b146-4bf2-9d2e-0dfa6ac7142d), forma parte de su tolerancia como síntoma de ella, ya que, a pesar de que intenta despreciarla mediante las flatulencias, hay interrupciones (el garrafal error que entra en el primer acto y no poder reírse a través de la totalidad de su flatulencia), debido a faltas en la constitución (por el compositor y por el constructor). Responde frente a esto escribiendo un puema (“puesy”, con “u” en vez de la “o” en “poesy”, lo cual pudiera acercarse en la pronunciación a contener excremento, “poo”) que tampoco es (falta por ser limpiada).

Creo que el nombre que responde a su querer (“nom qui répond à son voeu”) pudiera estar en relación a “farse” (farsa/flatulencia), y que su tolerancia como síntoma (y mujer) estuviera en poder escribir sobre la interrupción producida en esto debido al Otro como “productor” de la falta-en-ser. Sin embargo, en ambas, se logra tener un objeto artístico a partir, o a pesar, de esto.


martes, 22 de octubre de 2013

«deux textes très courts», segunda parte, de Jean Michel Vappereau


Le contenu

Nous trouvons ce fragment dans un ouvrage de Logique mathématique d'un philosophe français qui a su apprécier très tôt les travaux et les découvertes arithmétiques de G. Boole en matière de syllogistique aristotélicienne, allant jusqu'à présenter cette algèbre de la logique sous l'aspect axiomatique d'un treillis de Boole. Mais ceci est une autre question qui viendra plus loin.
Pour l'instant, lisons :

"Interprétation Conceptuelle (I. C.) : La relation a < b , où a et b désignent des concepts, signifie que le concept a est subsumé sous le concept b, c’est à dire est une espèce par rapport au genre b.
Au point de vue de l’extension, elle signifie que la classe des a est contenu dans la classe des b ou en fait partie ; ou, plus brièvement, que « tout a est b ».
Au point de vue de la compréhension, elle signifie que le concept b est contenu dans le concept a ou en fait partie, que, par suite, le caractère a implique ou entraîne le caractère b.
Exemple : « tout homme est mortel » ; « homme implique mortel » ; « qui dit homme dit mortel » ; ou plus simplement « homme, donc mortel ».
Interprétation Propositionnelle (I. P.) : La relation a < b , où a et b désignent des propositions, signifie que la proposition a implique ou entraîne la proposition b, ce qu'on exprime souvent par ce jugement hypothétique : « Si a est vrai, b est vrai » ; ou par : « a implique b » ; ou plus simplement par : « a, donc b ». On voit que dans les deux interprétation la relation < peut se traduire approximativement par donc.
Remarque. Quelle que soit l'interprétation des termes a et b, une relation « a < b » est une proposition .
Louis Couturat L'Algèbre de la Logique (1905)
édition Librairie Albert Blanchard 1980 p. 5

Présentation de cette curiosité logique ou de ce mystère
Le lecteur notera que dans la seule Interprétation Conceptuelle (I. C.)
- du point de vue de l’extension
la classe des a est contenu dans la classe des b"
- du point de vue de la compréhension
"le concept b est contenu dans le concept a"
Désignerons cette inversion, produite dans la lecture, comme une involution, ici parfaitement justifiée puisqu'elle se produit dans le passage des classes d'extensions des concepts aux concepts eux mêmes qui se correspondent mutuellement et sont transcrit par la même lettre dans chaque cas, le cas de a et le cas de b.

Explications du mystère
L'interprétation conceptuelle (I. C.) suppose que a et b soient des concepts.
Adoptons alors l'écriture proposée par Frege des concepts en tant que fonctions propositionnelles.
a et b s'écrivent alors respectivement a(x) et b(x).
et prenons un exemple de tels concepts en tant que composés de concepts plus élémentaires parmi les trois concepts P(x), Q(x), et R(x).
Ainsi, le choix de
a(x) = [P(x) Q(x) R(x)] et b(x) = [P(x) Q(x)]
nous fourni un cas qui vérifie la relation d'ordre
a(x) < b(x)
dont voici le diagramme à la manière de Euler Venn.



 
Où il est lisible dans le diagramme que
- du point de vue de l'extension, la classe des a(x) est bien plus petite et contenue dans l'extension de la classe des b(x)
- du point de vue de l'écriture explicite, l'énoncé du concept a(x) tel que a(x) = [P(x) Q(x) R(x)] contient bien l'énoncé du concept b(x) en tant que b(x) = [P(x) Q(x)].
Ainsi l'énoncé b(x) = [P(x) Q(x)] est en effet plus petit cette fois, ou plus court, en tant qu'énoncé que l'énoncé a(x) = [P(x) Q(x) R(x)] qui le contient de cette manière.

Le mystère devient énigme
On se demande alors pourquoi ne pas expliquer qu'il s'agit à propos du concept par opposition à sa classe d'extension de son écriture? Parce que les logiciens de cette époque ne considèrent pas qu'il s'agit d'écriture mais d'une supposée compréhension. Ici reste une trace
du psychologisme dénoncé par Frege jusque chez Husserl et dont Wiener montrera à B. Russell l'aspect erroné grâce à son analyse de la paire ordonnée en théorie des ensembles.
"La Logique est une bonne lessive" qui fait disparaître sa matérialité d'écriture effective pour la remplacer par des nuées psychologiques.
 



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Remarque. Quelle que soit l'interprétation des termes a et b, une relation « a < b » est une proposition .
Par conséquent, lorsqu'une relation notée : <, a pour membres deux relations semblables (ou même une seule), elle ne peut recevoir que l'interprétation propositionnelle, c'est à dire, elle ne peut signifier qu'une implication.
On appelle une proposition primaire toute relation dont les membres sont des termes simples (des lettres); proposition secondaire toute relation dont les membres sont des propositions primaires ; et ainsi de suite.
On voit par là, dés maintenant, que l'interprétation propositionnelle est plus homogène que l'autre, puis que seule elle permet de donner le même sens à la copule < dans les propositions primaires et secondaires."
Louis Couturat L'Algèbre de la Logique (1905)
édition Librairie Albert Blanchard 1980 p. 6

«deux textes très courts»primera parte, de Jean Michel Vappereau


Tous philosophes
Le kanteur universel en logique
des prédicats kantifiés au premier ordre

Nous trouvons dans les Écrits de Lacan un petit problème de logique des prédicats kantifiés qui n'a jamais été spécialement commenté sinon résolu à notre connaissance par aucun de ces lecteurs.

"Qu'être philosophe veuille dire s'intéresser à ce à quoi tout le monde est intéressé sans le savoir, voilà un propos intéressant d'offrir la particularité que sa pertinence n'implique pas qu'il soit décidable. Puisqu'il ne peut être tranché qu'à ce que tout le monde devienne philosophe."
Subversion du sujet et dialectique du désir dans l'inconscient freudien
J. Lacan Écrits (volume 1) p.799, Seuil 1966, Paris

I.
En posant,
si(x,y) : "x s'intéresse à y"
S(x) : "x le sait "
donnons l'expression du concept qui définit le philosophe écrit en logique symbolique contemporaine.

f(x) : y [(si(x,y) ∧ S(x)) ∀z(si(z,y) ⇒ ¬S(z))]

Cette expression vient pour l'expression proche de celle qui se trouve formulée en langue française dans les Écrits. Elle est un peu modifiée, d'une si légère nuance, par nos soins,
"x s'intéresse [en le sachant] à ce à quoi tout le monde s'intéresse sans le savoir"
ou de façon plus proche du mode de transcription symbolique mise au point par les logiciens,
"Il existe y (tel que) x s'intéresse à y [et x le sait] et tout z s'intéresse à y alors que z ne le sait pas."
Nous allons voir l'effet d'élégante symétrie produit dans le calcul, après avoir rétabli le terme de cette élipse dans la langue.

II.

"Sa pertinence n'implique pas qu'il soit décidable"
1 - Si :
∃xϕ(x) : xy[(si(x,y) S(x)) z(si(z,y) ¬S(z))]
nous notons a un tel x qui satisfait f(x), soit,
ϕ(a) : y[(si(a,y) S(a)) z(si(z,y) ¬S(z))].
2 - Mais z étant kantifié par un universel dans cette formule, a doit aussi satisfaire (si(z,y) ¬S(z)) puisque cela est le cas de tout z donnant lieu par conséquence à,
ϕ(a) : y[(si(a,y) S(a)) (si(a,y) ¬S(a))]
3 - Or par le calcul de la coordination, ceci équivaut à,
ϕ(a) :y[(si(a,y) S(a)) ¬(si(a,y)  S(a))]
3' - En posant P(a,y) : (si(a,y) S(a)) l'écriture devient plus simple à lire comme la proposition
ϕ(a) : y[P(a,y) ¬ P(a,y)]
qui est contradictoire c'est à dire un rejet pur et simple sans conclusion qui permette de décider entre P et ¬P si y existe et par conséquent pour a.

III.

"Il ne peut être tranché qu'à ce que tout le monde devienne philosophe."

1 - Si nous revenons à la définition du philosophe par le concept f(x)

ϕ(x): y[(si(x,y) S(x)) z(si(z,y) ¬S(z))]

la seconde partie du concept
z(si(z,y) ¬S(z))
étant kantifié par un kanteur universel, elle se satisfait d'un domaine vide.
Se reporter pour cela au diagramme de Pierce cité par Lacan dés son séminaire : L'identification et surtout à son Écrit intitulé : "Kant avec Sade" où il est précisé que : "Un universel vaut pour tous sinon pour aucun.".
2 - Dans ce modèle
z(si(z,y) ¬S(z))
est vrai par nécessité et notre définition écrite par de caractères symboliques, devient
xϕ(x) : xy[si(x,y) S(x)] du fait que z(si(z,y) ¬S(z))
ce qui n'est plus indécidé d'un philosophe noté : a
z(si(z,y) ¬S(z)) ϕ(a) : y [si(a,y) S(a)].

Jean michel Vappereau
Buenos Aire, le 7 janvier 2009

domingo, 20 de octubre de 2013

Traducción de un fragmento de «Essai d'une histoire raisonnée de la philosophie païenne» de Alexandre Kojève



Diagnóstico relativo al conjunto de la filosofía:
Conclusión a la Onto-Logía estoica en terminos de
Incorporales estoicos y concepto hegeliano.
  • laguna del sistema estoico en el interior mismo de su teoría de los incorporales.
  • separación de la espacio-temporalidad y del lecton
  • oposición entre la filosofía pagana y la filosofía judeo-cristiana (de la encarnación del Jahvé judío) o kantiano (transformada por Hegel en sistema del saber absoluto).

Así, de hecho, el incorporal estoico es a la vez Sentido Y Esencia en potencia, sin ser en acto NI Esencia NI Sentido.
Entonces pues, este incorporal es para nosotros el concepto. Y ese concepto es, para los mismos estoicos, (también) espacio-temporalidad. De modo que se obtiene una Onto-logía auténticamente hegeliana.
- Solamente, de hecho, no hay nada de eso. Porque si los estoicos consideran como incorporales tanto la espacio-temporalidad (descompuesta por otra parte en tiempo y espacio + vacío) como el lecton, no identifican de ningún modo este último a la primera. Sin duda la ligazón de hecho entre la teoría del lecton y la lógica existe también para el estoico, lo mismo que aquella entre su teología y la teoría del incorporal espacio-temporal. Pero lejos de identificar el concepto (en tanto que sentido separado del morfema) con la espacio-temporalidad, los estoicos no llegan a establecer una ligazón cualquiera entre los dos [precisamente porque aíslan los sentidos incluyéndolos como evidencias]. Así, para ellos la “Lógica” (“formal”), incluso prolongada por la teoría del lecton (evidente) queda separada de la “Teología” incluso prolongada por la teoría de lo incorporal espacio-temporal. Porque que esas dos teorías queden aisladas una de otra, el sistema estoico es incompleto y la laguna del sistema estoico se sitúa, si se quiere, en el interior mismo de su teoría de los incorporales, en la medida en que ésta aísla los sentidos y los incluye como evidencias. Si se quiere ver en ésta la onto-logía estoica propiamente dicha, no hay que olvidar que ésta también separa lo que se dice (el lecton en tanto que sentidos “evidentes” o “nociones comunes” separadas) de lo que se habla (la espacio-temporalidad separada de los sentidos) y no habla para nada de sí misma, es decir precisamente de lo que todo eso de lo que se habla tiene en común con lo de eso que se dice.
Siendo esa la onto-logía estoica, no difiere esencialmente de la de Aristóteles. Aquello de lo que se habla queda sin ligazón con lo quede eso se dice. Sin duda, introduciendo la Lógica en el sistema mismo del cual forma parte la Física (y por consiguiente la teología), los estoicos plantearon de hecho y para nosotros, la cuestión del guión (trait d´union) que reúne las dos en una sola y misma onto-logía. Desde ese punto de vista, ellos hicieron un progreso sobre el camino que conduce desde Aristóteles a Kant. Pero en la medida en que la cuestión del lazo entre la “Física” (teología) y la “Lógica” no fue explícitamente planteado, más que por Kant (y resuelto solo por Hegel), Aristóteles puede ser considerado como filosóficamente más “honesto” que los estoicos, en la medida en que él rechazó introducir en su sistema una supuesta “parte” lógica que de hecho queda sin ligazón con las otras. Si Aristóteles en su Organon, habla del discurso “haciendo abstracción” del mundo del cual habla en su sistema, es porque de hecho, él logró tan poco como los estoicos, “deducir” del mundo del que habla, ni el discurso en tanto tal, ni por consiguiente lo que dice él mismo de ese mundo en su filosofía.
Hemos visto que esta incapacidad se debe al carácter pagano (incluso platónico)
de la teología aristotélica (y estoica), es decir a la doble trascendencia del theos anti guo. Ese theos se encarna solo en el Uranos (asimilado por los estoicos al Cosmos entero), pero éste no es discursivo por ser silencioso el acto planetario. En cuanto al discurso humano, en Aristóteles queda sin lazo con el cielo. Lo mismo para el Lecton de los estoicos, (incluidos como conjunto de evidencias aisladas) no tiene ninguna relación con su espacio-temporalidad: el theos permanece mudo y el hombre no es divino; el discurso entonces no es verdadero y la verdad no es discursiva; Parménides y Heráclito se oponen sin reconciliarse. La situación queda entonces la misma que en Aristóteles, incluso en Platón mismo; y así permanecerá hasta que la encarnación del Yavé judío se revele discursivamente en y por la filosofía judeo-cristiana o kantiana (transformada por Hegel en sistema del saber absoluto).
Nosotros vemos así que la onto-logía (des-dogmatizada) de los estoicos, no difiere
esencialmente de la de Aristóteles.
Ahora nos es necesario ver que pasa lo mismo con la energo-logía estoica.
Páginas 130 a 132

Kojève, Alexandre – Essai d`une histoire raisonnée de la philosophie paienne.
Tomo III – La philosophie hellènistique, les néo-platoniciens
c. LES PRODROMES PAIENS DE LA PARA-THESE SYNTETIQUE.
II. Les philosophies dogmatisées (paraphilosophies).
2 L`Aristotelisme dogmatisé: le Stoicisme.
L`Onto-logie stoicienne.

Comentario actual: del chiste al matema
El lecton, en tanto que evidencia (dogmática) y separada de lo espacio-temporal transformado por la noción de discurso inconsciente en tanto que lazo social del cual “se sale uno por uno pero que no podría estar reservado a algunos” retoma bajo el aspecto de “lo que vuelve legible al significado” entre los incorporales matemáticos del discurso analítico: función, aplicación, análisis.
La episteme que se deduce entre significación (lecton), literalidad y espacio-temporalidad es por otra parte más temible por el sujeto de la ciencia de lo que puede admitir y soportar con desenvoltura y facilidad.


J.-M. V.



Traducción/ Versión: Roberto Pinciroli